Savez-vous que est cet homme si songeur ? C’est Alfred Nobel.
Le prix qui porte son nom est l’une des plus prestigieuses récompenses dans le monde.
Il est décerné à des personnes ayant apporté le plus grand bénéfice à l’humanité dans certains domaines tels que la physique, la chimie, la littérature…
Étonnamment, le créateur de ce prix, Alfred Nobel, n’était pas un faiseur de paix lui-même. Bien au contraire, le chimiste suédois avait fait fortune grâce à son invention de la dynamite.
Un matin, à sa grande surprise, Alfred Nobel découvrit, imprimée dans un journal, sa propre notice nécrologique.
C’était un matin en 1888, et c’était son frère Ludvig qui était mort. Les journaux avaient imprimé accidentellement la nécrologie d’Alfred déclarant : « Le marchand de la mort est mort ».
C’était une erreur, bien sûr. Mais après l’avoir lue, Alfred Nobel se rendit compte qu’il ne voulait pas être connu pour avoir donné à la société la capacité de faire exploser les choses et causer des morts.
Nobel décida qu’il fallait faire quelque chose pour changer cela! A partir de ce jour, il consacra donc, beaucoup de son temps et la majorité de sa fortune à financer des prix annuels pour récompenser des réalisations exceptionnelles en physique, chimie, médecine, littérature et paix.
Dans son testament, il demanda la création de ce prix financé avec tout l’argent gagné grâce à la dynamite, et c’est ainsi que son héritage se perpétue si noblement encore aujourd’hui.
Plus de cent ans après sa mort, peu de gens réalisent qu’Alfred Nobel était l’inventeur de la dynamite, mais presque tout le monde a entendu parler des prix Nobel.
Cet homme a eu la chance de lire sa propre notice nécrologique alors qu’il avait encore l’occasion de changer l’orientation de sa vie et ses efforts continuent de bénéficier à l’humanité toute entière.
« Plus nous aurons donné de sens à notre vie, moins nous éprouverons de regrets à l’instant de la mort. » (Dalai Lama)
Ce qui donne un sens à la vie, apporte le bonheur à cette vie et au delà aussi.
Je vous invite à vous poser la question de temps en temps : « Ai-je fait de mon mieux pour que le monde autour de moi devienne meilleur ? »
Si la réponse est oui, alors nous pourrons mourir le cœur en paix…. le plus tard possible, bien sûr!!!
Passez une bonne semaine…
Bonjour, je voudrais partager l’article ci dessous:
L’homme mortel ne peut pas échapper à sa mort …
Mais, d’après Blaise Pascal, l’homme a l’avantage de savoir qu’il est mortel :
« L’homme se sait mortel, il est conscient de sa fragilité. Alors chacun de ses actes, chacune de ses pensées, chacun de ses sentiments ont de la valeur pour lui.
Il peut s’efforcer vainement de se mesurer à la nature, ce qui selon Pascal serait stupide mais il peut aussi reconnaître son humilité et exploiter le temps de sa vie à » bien penser « , « à mesurer le prix des moments de son existence », de la brève existence. »
Matthieu Ricard, le moine bouddhiste, raconte :
« Une personne que j’ai rencontrée récemment déplorait l’attachement que certains de ses amis entretenaient à l’égard de l’argent, même à l’approche de la mort. Elle conclut en remarquant : « On n’a jamais vu de coffre-fort sur un corbillard. »
Qu’aimerions-nous transmettre à nos enfants ? Une belle image de nous-même ?
Des biens matériels qu’ils se disputeront peut-être ?
Ne vaut-il pas mieux leur léguer une source d’inspiration, une vision des choses qui ait un sens et qui puisse leur donner confiance à chaque instant de leur vie ? »
En effet, selon le bouddhisme, il est important de réaliser que quelque chose de dangereux comme la mort nous guette, quelque chose qui peut être imminent.
Cette considération provoque un sentiment d’inconfort et d’agitation, mais nous permet de «ne pas gaspiller notre vie humaine en vaines et futiles activités !»
» La pensée que, l’année ou le mois qui vient, j’aurai mené à bien toutes mes tâches et mes projets et pourrai enfin me consacrer à une parfaite pratique spirituelle, n’est autre que l’intervention du démon pour tout compromettre. » (déclaration de Gungthang T. D dans Comment méditer sur l’impermanence).
Il est donc vain de s’attacher dur comme fer à cette existence, car même si nous vivions cent ans, il faudra mourir un jour.
D’ailleurs, l’instant de notre mort ne nous est pas connu et peut se présenter à tout moment.
Quand cela se produira, à quoi nous serviront nos biens ? À cet égard, la mort d’un milliardaire ne vaut pas mieux que celle d’une bête sauvage.
Les seules choses qui auront de l’importance au moment de notre mort seront nos bonnes ou mauvaises actions, ainsi que le développement spirituel que nous aurons atteint.
C’est la seule certitude.
Merci beaucoup Thanh pour ce nouveau partage!
Thanks a lot for the post.Really thank you! Much obliged.
Welcome Dixiwonderland!
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