Bonjour à toutes,
Cette semaine encore, je vous propose de lire… deux livres : une découverte (pour moi) et une valeur sûre….
D’abord, la découverte, Agnès Ledig, romancière française que je ne connaissais pas et que j’ai découverte avec beaucoup de plaisir.
Agnès Ledig est diplômée de la faculté de médecine de Strasbourg et spécialisée en suivi gynécologique de prévention et contraception, ainsi qu’en accompagnement émotionnel.
Elle est sage-femme libérale en Alsace, l’épouse d’un agriculteur normand et la mère de trois enfants.
Elle commence à écrire en 2005, pendant la maladie de son fils Nathanaël, souffrant d’une leucémie. Pour répondre aux questions que posaient tous ceux qui se préoccupaient de Nathanaël, elle tenait un bulletin hebdomadaire. Un professeur de médecine qui suivait l’enfant lui a révélé son don de transmission et l’a encouragée à écrire.
Quand Nathanaël est parti, elle ne s’est plus jamais arrêtée.
Son premier romain paraît en 2011 et depuis, elle a beaucoup écrit et trouvé son public ; ses livres ont rencontré un vif succès et elle compte déjà 3 bestsellers !
Moi je vous parle de « Juste avant le bonheur », l’histoire de Julie et de son petit Lulu. S’il n’est pas gai gai, ce livre est plein d’empathie et d’espoir. L’auteur a un vrai talent pour mêler aux épisodes les plus dramatiques de l’existence, optimisme, humour, tendresse et espoir. Riche en émotions ce livre vous fera passer du rire aux larmes, vous laissera pleine d’énergie et réconcilier avec la vie car c’est un livre qui fait du bien!
Ma valeur sûre, c’est Bernard Werber, Il est principalement connu pour sa trilogie des Fourmis. Son œuvre, traduite dans une trentaine de langues, fait se rencontrer spiritualité, science-fiction, polar, biologie… Cette semaine j’ai lu ou plutôt dévoré « La boîte de Pandore »
Ce livre vous amènera à vous poser beaucoup de questions sur votre existence actuelle mais aussi sur la possibilité d’en avoir vécu d’autres. C’est, comme toujours, très bien écrit, plus qu’intéressant, passionnant et cerise sur le gâteau, Bernard Werber vous emmènera avec lui sur des chemins où vous étiez souvent persuadée de ne jamais mettre les pieds….. J’ai adoré!
Voilà pour cette semaine, je vous laisse en vous souhaitant un très bon premier mai, même confiné et pluvieux!
Bonjour Arlette,
C’est un plaisir de retrouver ton site. Je voudrais partager une histoire : Le tableau le plus vrai
« Un empereur fit faire un concours par des peintres : celui qui représenterait le mieux la paix dans un tableau gagnerait un prix. Beaucoup d’artistes s’essayèrent à peindre les plus beaux , mais seuls deux d’entre eux retinrent l’attention de l’empereur.
– Le premier représentait de hautes montagnes harmonieuses qui se reflétaient dans un lac magnifique, bleu comme le ciel. Une image parfaite de la paix et de la sérénité.
– Le second, représentait aussi des montagnes, mais celles-là farouches, abruptes, sinistres, se découpant sur un ciel zébré d’éclairs menaçants.
Mais, dans un coin, à côté d’une cascade écumante, il y avait dans un trou de falaise sur un rocher à pic la dominant, un tout petit buisson dans lequel un oiseau avait construit son nid et couvait tranquillement.
Lequel de ces tableaux l’empereur choisit-il ?
Le second, car dit-il, « C’est dans notre cœur qu’il faut savoir trouver la paix, même au milieu des pires difficultés ! »
La paix n’existe pas si elle n’existe pas en nous-mêmes.
« Wise are they who have learned these truths:
– Trouble is temporary.
– Time is tonic.
– Tribulation is a test tube. »
(William Arthur Ward)
Merci Thanh pour ce joli commentaire!